dimanche 23 septembre 2018

28 juillet


Samedi 28 juillet

Aujourd’hui,nous partons découvrir les singes capucins à pied dans une palmeraie fréquentée par les bovins, ainsi qu’en témoigne deux crânes de vaches sur le sol, tuées par des serpents à sonnettes, d’après le guide. Du coup, tout le monde met ses pas dans les siens, d’autant qu’on trouve également deux mues du reptile au sol! Mais pas de panique, on fait du bruit, donc ils fuient et le guide a le sérum dans son sac… (qu’il faut administrer avant une heure, sinon…. C’est la moooort!!!)
Les capucins ne se laissent pa voir facilement et ne descendent que rarement au sol, ils ont peur de l’homme, c’est normal, ce sont les singes les plus intelligents d’Amérique du sud.
Après les capucins, nous allons pêcher des pirhanas en accrochant des bouts de viande à des hameçons. Denis se lasse le premier, Cathy persévère mais sans succès! Les piranhas sentent une goutte de sang à 10m, c’est pourquoi si on a aucune coupure ni indisposition mensuelle on peut se baigner dans le Rio sans problème, à midi pendant la sieste des caïmans ( ce que font les villageois).
Le retour vers Rurrenabaque est plus pénible qu’à l’aller, la faute des Chinois qui laissent la route en travaux depuis 4 ans alors qu’ils devaient la terminer en 1 an. Notre camarade Chilien hyperactif doté de ses deux filles en plein âge bête pour les vacances s’avère usant. Il n’arrête pas de parler au chauffeur de politique, Franc - Maçonnerie , Hellénisme, …
Le conducteur hoche poliment de la tête et slalome de gauche à droite pour éviter les nids de poule et les camions qui déboulent dans des nuages de poussière ocre. Pendant ce temps les deux neuneus poussent des cris d’orfraie à l’arrière.
Après deux heures dans ces conditions, nous prenons une chambre à Rurrenabaque. Visite des bords du rio Béni, où les marchands préparent le marché du dimanche. Certains dorment sous des bâches avec leur famille. Les rues sont pleines de petites échoppes diverses et variées: épiceries (ou aucun prix n’est affiché, ce qui rend assez difficile l’évaluation du vrai niveau de vie pour un touriste :-) . Comme à La Paz, il n’y a pa se vitrine, juste un rideau qu’ils tirent le soir, ils travaillent
tous comme dans un open space géant pour utiliser un terme branché “start up”. Concernant les nouvelles technologies, tout le monde a son smartphone et il y des cartes de téléphone avec internet à vendre partout.
Multitude de boutiques, il y a la rue des coiffeurs avec leurs échoppes ouvertes au vent qui emporte les mèches ,tous les hôtels et restaus ont internet. Ils ont donc accès à tous les savoirs  instantanément, nous sommes égaux sur ce point. Drink Coca-Cola and use Google ;-)
 A côté de notre pizzeria, un orfèvre achète pour 12 000 bolivianos une pépite d’or à deux orpailleurs (1500 euros), il les paie cash.









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