Vendredi 20 juillet
Nous quittons Parinacota, vu le temps perturbé qui continue.
4 km de piste à pied pour rejoindre la route, on voit plein
de viscaches,!
Un premier bus passe sans s’arrêter…
Heureusement le deuxième nous prend… Nous sommes les seuls
touristes
Pour 20 000 pesos, il nous conduit à La Paz… On perd 2 h à
la douane
, il fait descendre les bagages du bus, ils sont scannés
comme dans un aéroport, c’est surveillé d’un oeil par un douanier avachi.
Des enfants proposent des charrettes pour convoyer les
bagages.Nous traversons des paysages désolés, canyons rougeoyants, des maisonnettes en terre couvertes de
paille semblent toujours occupées par des paysans, pour l’élevage de lamas. Le
passage à Patacamaya nous fait découvrir des conditions de vie rudes: rues
boueuses, marchandes dans la boue, marchandises surélevées à l’aide de cageots.
El Alto, banlieue pauvre de La Paz , expose toute sa pauvreté et une totale
anarchie urbaine. La plupart des passagers y descendent.
Quant à nous, nous rejoignons l’Hôtel Perla negra près de la
gare routière, 180 b pour deux, mais pas de chauffage et douche pas chaude,
fuite d’eau dans la salle de bains. Deux lits jumeaux mais on dort dans le même
pour avoir plus chaud en récupérant une couverture de l’autre lit….
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