samedi 22 septembre 2018

21 juillet



Samedi 21 juillet

Le petit déjeuner au goût chimique nous laissera une impression mitigée.
Nous rejoignons une autre adresse, Cruz de los Andes, qui nous donneras bien plus de confort pour un prix à peine plus élevé: 203 b, un excellent petit déjeuner , une douche vraiment chaude, un chauffage d’appoint pratique pour sécher le linge et bien sûr l’indispensable Wi-Fi.
Nous arpentons les rues à la recherche des marchés en ne sommes pas déçus! Jamais vu une telle densité, des vendeurs dans des boxes de 1,5 m2. Parfois à même le sol… Nous visitons le musée ethnographique doté d’une collection de bonnets, tissus, masques et coiffures en plumes. Ce qui est hallucinant, c’est le nombre de collectivos (taxis mini-bus) où les gens s'entassent pour un prix dérisoire. Par contre, vu les fumées des pots d’échappement, ils ne passeraient pas au contrôle technique en France. D’ailleurs certains habitants se protègent des fumées avec des tissus. Question protection solaire, tout le monde a son chapeau à large bord, sauf les porteuses de chapeau melon traditionnel, plus décoratif que fonctionnel. Même les travailleurs en casque avec un chapeau san partie sommitale enfoncé dessus. La plaza Murillo est entourée du parlement et du palais présidentiel,ainsi que de la cathédrale. Juste derrière des immeubles modernes gâchent la vue. Sur la place, des pigeons par centaines créent un tapis gris prêt à s’envoler…
Près d’un lampadaire, une statue. C’est là qu’a été pendu le président Villaroel en 1946. La place, jusqu’en 1825 ne pouvait être traversée par les Indiens et il fallut attendre 2005 et l’élection d’Evo Morales pour que les Indiens osent traverser cette place!
Le soir, pizzeria proche de l’hôtel, 6 euros pièce et vin bolivien (produit à 2000 m), bon, fruité, une sorte de Beaujolais (6  euros la bouteille).





















































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